Résumé
La permaculture, elle n’en a cure. La biodiversité, elle s’en est toujours méfiée. Les mouvements LGBT ne l’ont jamais concerné. Mais il suffit d’une rencontre, et d’un enchaînement de hasards comme elle aime les provoquer, pour que la Pétasse délaisse sa voiture et découvre de nouveaux horizons. Après “le Journal d’une pétasse au volant”, “le Journal d’une pétasse biodégradable” déroule le fil d’un personnage drôle, caricatural, mais tellement humain et qui entend bien revendiquer son curieux féminisme. Celui d’une femme, et de toutes les femmes, qui veulent jouer tous les rôles, tout de suite. Car elles se veulent amoureuses, concernées, frivoles et profondes à la fois. Va-t-elle se laisser embarquer dans une nouvelle aventure ou se dépêcher de retrouver le confort de sa vie bien organisée ? Avec elle, rien n’est simple, rien n’est acquis, et rien n’est définitif, mais toujours très drôle, délirant, parfois absurde.
L’auteure
Anne-Charlotte Laugier est un écrivain bio. Aucune trace de glyphosate dans son écriture drôle et provocante. Aucun OGM dans son œuvre qui ausculte les penchants de l’époque en les caricaturant pour mettre en avant leur pertinence et leur outrance. Mais peut-être qu’un peu d’essence coule tout de même dans ses veines. Un restant, sûrement, du Journal d’une pétasse au volant, son premier roman (2020, Éditions Ramsay), coup de cœur des lecteurs et la presse. Elle revient aujourd’hui beaucoup plus verte et fraîche, dans son propos écologique et dans son écriture aussi.
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