Paris, août 1976. Eglise Saint-Roch. La nef est bondée, derrière le chef de l’Etat et la famille du défunt, le colonel Passy rend un dernier hommage au plus énigmatique « Compagnon de la Libération » et « Juste parmi les Nations », Philippe Sorel. Il est le personnage central de cette histoire, et l’église Saint-Roch est le fil conducteur de l’intrigue.

C’est en 1900 que cet homme d’exception fête ses vingt ans, une vie exceptionnelle l’attend, tumultueuse, clandestine parfois, mais passionnante toujours. En somme, une vie romanesque.
Cent ans plus tard, Paul son petit-fils, écrivain, ayant achevé le roman de la vie de Philippe, part à Venise pour corriger le manuscrit. Mais, une rupture soudaine et malheureuse d’avec la femme qu’il aime, va bouleverser la correction de ce livre pour ajouter au texte une chronique de la marche du temps et de l’influence transmise par nos aïeux.

Entre hier et aujourd’hui, et d’un personnage à l’autre, le point de convergence, omniprésent dans le livre est l’église Saint-Roch, où se déroule une grande partie de l’intrigue. Le Chemin des Dames, Ingolstaat, Paris, Londres, Saint-Pierre et Miquelon, New-York et Venise feront croiser des personnages comme Albert Kahn, Greta Garbo, Antoine de Saint-Exupéry, Marlène Dietrich, Ernst Jüger, Rose Valland, et surtout le général de Gaulle, le compagnon de toujours. Au crépuscule de sa vie Philippe Sorel confiera à son petit-fils, Paul : « C’est là notre sang, c’est bien là notre sève. Des pleurs naissent les racines »

Les Larmes de Saint-Roch est son premier roman. Photographe de mode puis attaché de Presse, il a été journaliste et directeur commercial. Il est aujourd’hui photographe d’Art, Président/fondateur de l’Association Planète Albert Kahn, des Prix Internationaux Planète Albert Kahn (PIPAK) et il préside le Forum Pro-Images, salon annuel destiné aux professionnels de l’image et des médias.